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Culture. Los Picaros de Tartas participent au festival Bandas à Condom


Photo de la Banda Los Picaros, lors de leur participation au festival en 2019. Crédit: Romuald Comet


La banda Los Picaros concourt pour la première fois au festival Bandas à Condom. La fête reprend cette année et offre sa quarante-neuvième édition.


Le festival international de Bandas à Condom, dans le Gers, aura lieu du vendredi 13 au dimanche 15 mai. Il s’agit du plus grand rassemblement de musiciens amateurs européens dans le domaine des cuivres et des percussions, accessible dès 43 euros (le festival est gratuit pour les moins de 12 ans).


Lors du lancement des festivités, en 1973, c’est un groupe de Landais qui avait remporté la Palme d’or. Pour cette quarante-neuvième édition, deux bandas landaises concourent. Parmi elles, Los Picaros, un groupe originaire de Tartas, fondé en 1997.

Los Picaros ont participé au festival pour la première fois il y a trois ans, en 2019 : ils ont joué le vendredi soir, pour l’ouverture du concours à 18 h 30. Le groupe d’amis a décidé d’y retourner cette année, pour concourir le samedi 14 mai. L’équipe est composée de 25 musiciens (sans compter ceux qui sont là occasionnellement), âgés de 13 à 77 ans. Dans leur banda, on retrouve des cuivres (trompettes, saxophones, cor), des percussions mais aussi des instruments à vent (flûtes, hautbois). « C’est une expérience à vivre, où on rencontre du monde. Et puis pourquoi pas gagner le concours ? », confie Romuald Comet, le dirigeant du groupe.


Musique et partage


Los Picaros espèrent pouvoir gagner la Palme d’or, prix décerné lors du festival. Toutefois, ils restent dans un esprit de fête et de partage essentiel aux bandas. Habituellement, ces musiciens jouent pour des événements sportifs. « On anime les matchs de Basket Landes », explique Romuald Comet. Ils jouent aussi pour les mariages et les fêtes patronales.


Les bandas émergent dans les années 1960 en France. Elles commencent par jouer dans la rue, afin de partager leurs musiques et leur joie de vivre. Une chose est sûre, aujourd’hui elles n’attendent qu’une chose, que les ferias reprennent enfin.


Louisa Destugues (Pour le journal Sud Ouest)

 
 
 

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